DECLARATION DU CNRC & de l’APARECO/RC
(Conseil National de la Résistance Congolaise)

VIDEO ICI : https://www.facebook.com/candide.okeke/videos/340719295701975
Nuit d’horreur & plusieurs évasions à la prison de Makala
Constant MUTAMBA et Christian NDAYWEL les premiers suspects , se trouvent à la tête du Ministère de la justice congolaise & de la DEMIAP !
Le CNRC et l’APARECO/RC demandent une enquête indépendante

AUDIO ICI : https://www.facebook.com/100066913564090/videos/828307002790480
Paris, le 06 septembre 2024 – Après avoir mené sa propre enquête grâce à des réseaux de Monsieur Honoré Ngbanda à l’ intérieur et à l’extérieur du pays, au sujet des violences qui se sont déroulées à la prison de Makala dans la nuit du 02 septembre 2024, le CNRC et l’APARECO RC informent l’opinion de ce qui suit :
Le gouvernement congolais tente désespérément de camoufler la véritable version des faits , à savoir qu’il y a bel et bien eu l’évasion de miliciens rwandais orchestrée par des représentants de l’État congolais sur instruction de Kagame.
Craignant d’être mis à nu , Constant MUTAMBA et ses comparses se lancent en plus dans une campagne de victimisation et de désinformation auprès des médias et des chancelleries à Kinshasa .
xxx

D’après les éléments en notre possession plusieurs faits dans le déroulement de ces violences sont dues aux complicités dont les assaillants bénéficiaient au plus haut niveau.
1. Des prisonniers rwandais ont été libérés sur instruction de Paul Kagame Contrairement à la campagne de désinformation orchestrée par le gouvernement congolais au moins 35 prisonniers rwandais (dont 20 militaires) se sont bel et bien évadés , comme le confirme d’ailleurs plusieurs de leurs codétenus congolais (cf video) .
Nos sources confirment que l’opération qui a été organisée avec certains agents de la DEMIAP en complicité avec des PM et autres, avait pour objectif principal de libérer ces miliciens rwandais. Le reste n’a été que de l’habillage en plus d’une volonté de profiter de l’occasion pour éliminer quelques détenus congolais jugés gênants .
Ce mode opératoire était déjà récurrent durant la présidence du tueur en série, Joseph Kabila. A l’époque, plusieurs activistes ont été neutralisés en marge de violences et d’échauffourées sciemment programmées . Ce fut le cas d’Hugo Tanzambi , Rossy Tshimanga etc …
Le CNRC avait déjà appris auparavant que la plupart de ces éléments rwandais recevaient chacun pendant des mois des grosses sommes d’argent . Il serait donc probablement très instructif de tracer les sources de ces fonds .
2. Coupure d’électricité :

Ainsi, une coupure d’électricité a été opportunément déclenché la veille des violences à 19H sans qu’un groupe électrogène ne soit enclenchée pour pallier à ce problème , alors que ce centre pénitencier est équipée de manière à être alimenté en permanence en électricité. La durée même de la coupure en dit long. Les assaillants et leurs complices ont eu tout le loisir d’accomplir leur mission et tout a été fait pour provoquer suffisamment d’insécurité et de confusion pour masquer le véritable objectif de leur opération.
3. Retard des renforts :

Le gouvernement congolais diffuse également des fausses informations auprès des médias et des chancelleries à Kinshasa, telle que celle tentant de faire croire que la maison civile de Félix Tshisekedi a réagi rapidement.
A les entendre, un détenu, le colonel Mopepe, aurait rapidement alerté le Général Ntumba de la maison civile et le général Kale, et suite à cette alerte ces derniers auraient déclenché l’envoi des renforts dans la demi-heure suivante.
D’après les informations et témoignages que nous avons recueillis , les violences ont débuté à une heure du matin et les renforts sont intervenus seulement plusieurs heures plus tard. Il est à noter que le colonel Mopepe auquel il est fait allusion , se trouve en prison suite à une sordide affaire de crime commis en son absence et dont il a été injustement accusé, ceci en dit long sur l’état de la justice congolaise.
4. Zarco SEFU dit TGV un témoin gênant pour le Ministre Constant MUTAMBA et prisonnier personnel de ce dernier , a été extrait de la prison de Makala le mercredi 04 Septembre 2024 à 13H vers la DEMIAP et la prison de LUZUMU (Kongo Central) pour des raisons inexpliquées :

Les équipes du Ministre de la Justice se sont trahis en prolongeant illégalement la détention de l’activiste Zarco SEFU dit TGV jusqu’à la fameuse date du 02 septembre 2024. Il aurait pourtant dû quitter la prison le 14 aout 2024 (cf document écrit en manuscrit) ayant purgé sa peine de 2 ans (pour offense au chef de l’Etat) . Ceci , alors qu’il venait d’interpeller vivement, devant les caméras de TV5 Monde, le Ministre de la Justice en visite à la prison de Makala à la fin du mois de juillet 2024 au sujet des conditions carcérales des prisonniers.
Nos sources nous ont informé, que Le Dircab-adjoint du ministre , Mr MBOSO, a confié à son entourage que ce prolongement était une « punition » décidée par le ministre en personne . Se sentant en danger et après avoir échappé à des tentatives d’agression et s’être malgré tout fait dépouillé de toutes ses affaires dans ce laps de temps Zarco SEFU a fait parvenir à ses proches des vidéos de message de détresse que nous diffuserons prochainement .

Le CNRC prend l’opinion à témoin sur la responsabilité de Mr Constant Mutamba sur ce cas en particulier et son acharnement inexpliqué contre un jeune père de famille qui se retrouve privé de liberté alors qu’il n’a ni volé ni tué personne . Il a par contre déjà purgé une peine de 2 ans, pendant que des véritables criminels restent impunis et sont absous par le gouvernement congolais.
5. Constant MUTAMBA le Ministre de la Justice qui adule le tueur en série Joseph Kabila n’est absolument pas crédible de même que celui qui l’a nommé. Pour lui , Kabila est un « grand homme », une « icône » qui l’aurait « façonné » (cf vidéo) :
Même s’il a aussi ses propres ambitions , les décisions et les sorties médiatiques purement populistes de Constant MUTAMBA ne doivent pas endormir l’opinion quant à ses racines politiques et ses véritables objectifs, qui sont entre autres de protéger Joseph Kabila et les intérêts de ce dernier.

Car s’il était vraiment attaché au principe de justice c’est Joseph Kabila financier et parrain de toutes les milices rwandaises en RDC (en complicité avec son poulain Félix Tshisekedi) que Constant MUTAMBA aurait déjà mis en détention. Tous les congolais ont chacun encore en tête les nombreux massacres dont le mentor de Constant Mutamba s’est rendu coupable : des fosses communes de Maluku aux massacres de Tingi Tingi, de Pweto, de Mushake en passant par les affaires d’assassinats de Floribert Chebeya, Rossy TSHIMANGA , Armand TUNGULU , des adeptes de Bundu Dia Kongo , de Mukungubile etc …
Quant à Christian Ndaywel qui pilote certaines de ces enquêtes , le CNRC invite chaque congolais à ne pas oublier qu’il n’y a pas si longtemps Joseph Kabila l’utilisait pour acheter des armes destinées aux milices rwandaises qui exterminent les congolais (comme nous l’avions relevé dans une de nos publications.) Nos sources nous ont informé qu’il est actuellement impliqué dans plusieurs actes criminels dont les congolais sont victimes.
De tous ces faits, et de tant d’autres à propos desquels nous reviendrons prochainement, le CNRC :
- appelle la Communauté internationale et toutes les ONG de défense des droits de l’Homme à se mobiliser pour qu’une enquête internationale et indépendante soit mise en place et définisse les véritables responsabilités des uns et des autres ainsi que le nombre réelle des victimes. Ceci, plutôt que de s’en tenir à la version distillée par un gouvernement congolais, dont le ministre de la Justice est un adepte du tueur en série Joseph Kabila dont il semble déjà reproduire les actes criminels.

- attire également l’attention de tous sur le sort du Directeur de la prison de Makala , Monsieur Yusuf Joseph MALIKI . Bien qu’il soit impliqué dans de multiples cas d’extorsions d’argent des prisonniers et serait en fuite il faudrait néanmoins le sécuriser pour qu’il puisse témoigner.
- rappelle enfin que la République démocratique du Congo, est toujours un pays occupé, notamment par le Rwanda. Le régime en place en RDC la mission de couvrir les occupants, d’où les nombreuses incohérences que l’on peut constater de la part de plusieurs politiciens congolais, qu’ils soient à la tête du pays ou parmi les opposants fictifs qui accompagnent ce régime. De ce fait il n’y a rien à attendre de ce gouvernement puisque ceux qui sont censés y prendre des décisions sont tous aux mains de ceux qui posent problèmes à la RDC aujourd’hui. Les congolais n’ont pas d’autre choix que de les faire partir par tous les moyens.
Pour le CNRC et l’APARECO/RC
Paris, le 06 Septembre 2024
Candide OKEKE
Responsable du pilotage stratégique du CNRC
APARECO/RC


Laisser un commentaire