A LIRE / 10 raisons pour lesquelles « Joseph Kabila » ne peut pas diriger la République démocratique du Congo

 (RAPPEL)

Il y a quelques mois , le Conseil national de la Résistance Congolaise (CNRC en sigle) avait alerté les congolais concernant l’intention de Joseph Kabila de revenir à la tête de la République démocratique du Congo . Des membres du réseau de feu Monsieur Honoré Ngbanda nous avaient, en effet , informé des tractations de certains des émissaires qu’il avait mandatés , pour plaider sa cause auprès de différents pays occidentaux. Certains congolais, toujours aussi crédules, seront sans doute surpris d’apprendre que dans l’une de ces délégations se trouvaient, non seulement des personnalités comme Mo Ibrahim ou Alexandre Soros , mais aussi l’ancien ambassadeur tutsi Burundais, monsieur Julien Nahayo , père de Carine Nahayo l’épouse de …Moise Katumbi .

https://resistancecongolaise.com/2023/05/20/alerte-kagame-kabila-et-leac-sactivent-pour-l-embrasement-de-lest-de-la-rdcongo-et-de-kinshasa/

Eh oui, Honoré Ngbanda n’avait pourtant cessé d’alerter les congolais au sujet des liens étroits qui existent entre le zambien Moise Katumbi et le rwandais Joseph Kabila, . Ces deux Kagame’s boys manipulent à souhait une frange de la classe politique congolaise corrompue, collaborationniste au service de Kigali et Kampala.

De l’OPA opéré par Moise Katumbi sur l’UDPS,  au fameux « Plan Mokolo » visant à ce que Moise Katumbi soit mis en avant pour couvrir Joseph Kabila, Honoré Ngbanda n’avait cessé d’alerter les congolais. Mais force est de constater que beaucoup d’entre eux ont la mémoire courte et se laissent facilement berner par ces deux acteurs politiques couverts par Félix Tshisekedi.

A l’heure où nous notons une grande fébrilité dans le camp de Kabila et ses complices , il est du devoir des résistants congolais de veiller à ce que tombent définitivement , les masques de ces loups qui continuent à se cacher dans la bergerie congolaise. C’est pourquoi , le CNRC et « Les Ngbandistes » remettent à la disposition des congolais un extrait d’une publication de Monsieur Honoré Ngbanda diffusée en Juin 2011 qui doit rappeler à tous, 10 bonnes raisons (la liste n’est pas exhaustive) pour lesquelles celui qui se fait appeler Joseph Kabila ne peut ni diriger la République démocratique du Congo  ni même faire partie de l’espace politique congolais, de quelque manière que ce soit .

 Sa présence au sein de nos institutions est à la fois le fruit de sa complicité avec Félix Tshisekedi et la preuve que le dispositif qu’il a mis en place pour continuer à garder le contrôle de l’appareil politique congolais, continue à fonctionner. Sur ce point précis ,  le  document «  La guerre du Coltan » de Monsieur Honoré Ngbanda peut éclairer ceux qui veulent en savoir plus .

(« La guerre du Coltan » https://resistancecongolaise.com/2021/10/13/1199/)

Mais pour l’instant , voici ci dessous , ce qu’ aucun congolais et toutes les personnes qui s’intéressent à la Rdcongo ne doivent ignorer sur celui qui se fait appeler « Joseph Kabila » 

Paris, le 21 Janvier 2025

CNRC / Les Ngbandistes

(Extrait de la déclaration politique de Monsieur Honoré Ngbanda diffusée  le 9 Juin 2011 et intitulé «  Les 10 raisons pour lesquelles Joseph Kabila doit partir »)

Ø  «Joseph Kabila» (son vrai nom est Hyppolite Kanambe)  qui signe pourtant des documents officiels de son véritable nom comme l’APARECO l’a prouvé, a menti aux Congolais sur ses véritables origines rwandaises dans sa déclaration officielle d’identité : il a dissimulé l’identité de ses véritables parents biologiques d’origine rwandaise dont la mère vivrait encore  cachée quelque part dans un pays de l’Occident et que plusieurs congolais ont pu croisé en RDC à l’époque où son fils n’était pas encore chef de l’État.

Ø  Quatre versions lui donnent cinq lieux de naissance différents : 1) en janvier 2001 lors de la cérémonie de son investiture à la magistrature suprême, le procureur général de la République, Monsieur Luhonge Kabinda Ngoy, déclarait solennellement que «Joseph Kabila» est né  à «Hewa Bora II» (retenez que cette dénomination n’a jamais existé dans la nomenclature de l’administration de la RDC depuis l’époque coloniale), 2) en 2002, une dépêche de l’Agence France Presse, sans citer sa source, annonce que «Kabila» est né le 5 juin 1972 à Lulenge durant la rébellion de Laurent Désiré Kabila , 3) l’historien belge Erik Kennes, à la suite de ses enquêtes publiées dans son livre « Essai biographique sur Laurent Désiré Kabila», livre deux versions sur le lieu de naissance de « Joseph «Kabila» dont le premier à Yungu et le second à Mpiki, 4) l’ami et proche confident de «Joseph Kabila», Vital Kamerhe, situe sa naissance à Fizi….. !  

Ø  Devant cette confusion, jamais « Joseph Kabila » n’a daigné éclairer la religion du peuple congolais, au contraire, il a arrogamment refusé jusqu’ici de pratiquer le test ADN réclamé par plusieurs Congolais, dans le but de mettre définitivement fin aux lourdes présomptions sur sa prétendue filiation avec ses faux parents biologiques congolais, dont notamment sa prétendue mère d’origine congolaise, Mme SIFA MAHANYA,  qui fait parti de son entourage proche. Le Président américain Barak Obama vient de donner un bel exemple de respect du peuple qui l’a élu : il a fait taire la polémique sur le lieu de sa naissance en demandant simplement au service d’état civil de l’Etat d’Hawaï de rendre public son acte de naissance! 

Ø  « Joseph Kabila » au contraire, a supprimé ou éloigné systématiquement tous les témoins gênants susceptibles de confirmer ses vraies origines rwandaises ; il s’est acharné particulièrement sur les enfants et les membres de la famille biologique de Laurent Désiré Kabila qui contestent ses prétentions, et dont certains rescapés aux tentatives d’assassinat ont été contraints à l’exil.

Ø  Il est complice dans l’assassinat programmé de LD Kabila dont il a bâclé et brouillé l’enquête pour détourner la vérité ; il a pour cela manipulé le procès pour incriminer des innocents qu’il a fait condamner à mort et qui sont encore détenus en prison jusqu’à ce jour.

Ø  « Joseph Kabila » a joué depuis le début de l’invasion (1996) jusqu’à présent un rôle de premier plan dans le processus d’occupation en cours d’une partie du territoire congolais (KIVU) : il a à cet effet conçu et appliqué le plan visant à chasser les autochtones congolais de leurs sols natals pour les remplacer par des populations étrangères en provenance essentiellement du Rwanda.

Ø   Il apporte depuis le début de l’invasion de la RDC en 1996 un soutien discret mais efficace aux différentes milices armées rwandaises  qui sèment la mort à l’Est de la RDC, et cela dans le but de favoriser l’invasion massive et programmée de la RDC par des populations étrangères.

Ø  Il accorde sa protection personnelle aux criminels de guerre proche de lui (cas flagrants de Nkundabatware et Ntanganda), alors qu’ils sont recherchés et réclamés par la justice internationale. « Joseph Kabila » conteste chaque fois, par la voix de son gouvernement, les résultats pertinents des enquêtes des ONG ou d’autres représentations de la communauté internationale qui révèlent  chaque année la recrudescence des crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis en RDC par des troupes armées et des milices tant congolaises  qu’étrangères. Au lieu de dénoncer ces crimes odieux et sanctionner leurs auteurs pour protéger les populations congolaises victimes, «Joseph Kabila» dont la mauvaise foi est manifeste, préfère plutôt les banaliser et les minimiser, accusant même les auteurs de ces enquêtes de vouloir déstabiliser son pouvoir.

Ø  «Joseph Kabila» a refusé, malgré plusieurs rappels de la communauté internationale et les moyens mis à sa disposition par elle, de créer une véritable armée congolaise pour défendre l’intégrité du territoire et protéger la population congolaise des exactions et des humiliations que lui font subir depuis plus d’une décennie des milices et des troupes armées en provenance de certains pays voisins de la RDC.

Ø   Il refuse délibérément  de rémunérer les militaires congolais dans le but de les maintenir dans la condition affligeante de mendicité, afin de les obliger, pour survivre de pratiquer la raquette sur les paisibles populations civiles congolaises

Ø  Il refuse mordicus d’armer et d’équiper les militaires congolais des FARDC (pour ce qu’il en reste) au profit des troupes étrangères opérant en RDC à sa solde.

Ø  Il a organisé à l’insu du Parlement, sous prétexte des fausses opérations militaires mixtes rwando-congolaises ou d’intégration des milices étrangères du CNDP, l’infiltration massive des militaires rwandais au sein des structures de  l’armée et de la police congolaises, et cela dans le but de favoriser et d’asseoir le processus d’occupation de la RDC qui a atteint sa phase finale.

Ø  Il a programmé et planifié plusieurs assassinats d’officiers généraux et supérieurs congolais formés dans les grandes académies militaires au monde, dans le but avéré de décapiter les FARDC de son élite militaire pour les remplacer par des officiers d’origines étrangères.

Ø  «Joseph Kabila» a participé, en tant qu’officier de l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) aux côtés du Colonel James KABAREBE, aux  massacres   planifiés des réfugiés hutus rwandais des camps de Sake et de Mugunga dans le Kivu (RDC) en 1996.

Ø  Il a pris une part active, au sein de l’armée rwandaise, à la poursuite et aux massacres des centaines de milliers hutus rwandais à travers les forêts tropicales des régions orientales et équatoriales de la RDC durant les années 1996, 1997 et 1998.

Ø  « Joseph Kabila » est complice et coresponsable des nombreux crimes organisés et planifiés à l’Est de la RDC par les forces armées d’occupation du Rwanda, du Burundi et de l’Ouganda. Ces crimes, selon les chiffres officiels des organismes humanitaires et internationaux, ont coûté la vie à plus de six millions de congolais

Ø  Il a savamment favorisé, par son soutien aux milices armées et aux  troupes étrangères d’occupation, l’instauration d’un climat d’insécurité à l’Est de la RDC, dans le but de provoquer des vastes mouvements d’exode forcé des congolais autochtones qu’on appelle les «déplacés», et dont la grande majorité de femmes et d’enfants est livrée à la mort lente et cruelle suite aux intempéries, à la faim, à l’insalubrité et au manque de soins de santé élémentaires.  

Ø  « Kabila » a systématiquement et sauvagement fait exécuter des dizaines de journalistes congolais, des prêtres, des évêques, des pasteurs et des militants des Droits de l’Homme qui ont osé braver le danger en dénonçant haut et fort son imposture, l’invasion et la balkanisation de la RDC ainsi que des crimes organisés à cette fin. Ces assassinats ont été   noyés ou étouffés grâce à  une parodie de justice orchestrés sous ses ordres.  

Ø  «Joseph Kabila» est parmi les concepteurs du plan d’éradication systématique des populations congolaises autochtones des régions de l’Est de la RDC (Kivu), grâce à l’usage des diverses  méthodes criminelles dont notamment : 1)les assassinats massifs des populations (particulièrement des jeunes gens entre 19 et 30 ans et des adolescents), 2) les  viols collectifs et massifs des congolaises en détruisant expressément leurs organes génitaux ou en les infectant du virus du sida, 3) la spoliation des autochtones congolais de leurs terres et villages pour les forcer à errer dans les forêts sans abri et livrés aux intempéries et aux fauves, 4) les empoisonnements individuels et collectifs par des sources d’eau…., et tout cela  dans le but d’éradiquer les populations autochtones congolaises dans  le Kivu et de les remplacer par des populations rwandaises de plus en plus nombreuses et supérieures aux populations congolaises. L’objectif final étant de réclamer auprès de l’ONU le référendum pour l’autodétermination de la région du Kivu ! 

Ø  « Kabila » poursuit et développe la politique de bradage des richesses du sol et du sous-sol de la RDC à travers des contrats léonins qui profitent à lui-même, à ses proches et aux lobbies financiers étrangers signataires de ces contrats.

Ø  Il applique la politique sociale de la paupérisation du peuple congolais, de son élite et de l’ensemble de sa classe moyenne (fonctionnaires, enseignants, ouvriers, commerçants, et agriculteurs…), dans le but avéré de les  contraindre à la mendicité afin de les rendre disponibles à la corruption et donc malléables à gré.

Ø  « Kabila » s’est rendu coupable de violation répétée des dispositions constitutionnelles en recourant chaque fois à la pratique de la corruption de  la majorité des opérateurs politiques congolais vassalisés.

Ø  Il manipule ainsi à son gré les institutions du pays (Parlement, Gouvernement et Justice) par la seule pratique de la corruption érigée en système de gouvernance, foulant ainsi au pied les principes et les valeurs fondamentales indispensables à l’existence  d’une démocratie effective et non simplement nominale.

Ø  « Kabila » a totalement supprimé la liberté d’opinion et instauré la répression sanglante de toute opposition politique réelle et non inféodée à sa personne.

Ø  Il a instauré un régime de terreur grâce aux enlèvements, aux pratiques de torture et aux assassinats sauvages d’opposants politiques, de journalistes, de militants des droits de l’homme et des religieux….

Ø  Il a bâillonné tous les médias et toute la presse congolaise, et il est parvenu à  imposer la pensée unique en RDC par l’interdiction des médias libres, par des  menaces suivies d’enlèvement, par la pratique de torture, par des exécutions sommaires et sauvages des  «récalcitrants» devant servir de «leçon» aux autres audacieux congolais !

(….)

A lire sur http://www.resistancecongolaise.com

Laisser un commentaire

Créez un site ou un blog sur WordPress.com

Retour en haut ↑