
CONSEIL NATIONAL DE LA RESISTANCE CONGOLAISE (CNRC)
R é p u b l i q u e d é m o c r a t i q u e d u C o n g o
Élection frauduleuse du Président de la cour constitutionnelle
Des juges terrorisés et mis sous pression par la Présidence pour imposer Kamuleta

Le mardi 08 juillet dernier, la cour constitutionnelle de la Rdcongo a procédé à l’élection du Président de cette institution. Bien que le Conseil National de la Résistance Congolaise, ne s’intéresse que très peu à ces fruits d’un régime collaborationniste que nous ne reconnaissons pas, le scrutin qui vient de se dérouler au cœur de cette institution a attiré notre attention. En effet, au vu des informations que nous avons pu recueillir après avoir été sollicité par des congolais à l’intérieur du pays, nous avons estimé qu’il y avait lieu pour nous, d’inviter une fois de plus le peuple congolais et les amis du Congo à prendre la mesure du danger que continue à représenter Félix Tshisekedi et ceux qui le soutiennent ou espèrent le maintenir à la tête de la République à démocratiser du Congo.
Alors que ces derniers jours, l’attention de la majorité des congolais et même de l’opinion internationale est tournée vers l’accord de paix piloté par les États-unis, et l’espoir de mettre enfin un terme à la guerre en Rdcongo , Félix Tshisekedi et les siens ont déjà commencé les grandes manœuvres pour se maintenir au pouvoir au-delà de 2028.
Des juges terrorisés…

D’après, les faits qui nous ont été rapporté concernant ce scrutin prévu initialement pour le 20 Juin 2025, le fils d’Etienne Thsisekedi reste égal à lui-même : Il n’a pas de parole et reste le garant des antivaleurs à la tête de la République occupé et à démocratiser du Congo.
Nos sources à l’intérieur du pays nous ont informé des dessous de la véritable fraude électorale que lui et ses hommes de main viennent d’orchestrer sans état d’âme pour imposer le Juge Kamuleta, candidat choisi par Félix Tshisekedi, comme Président de la cour constitutionnelle.
En effet, obnubilé par son maintien au pouvoir ad vitam aeternam, Félix Tshisekedi n’a pas hésité à obliger les juges de cette institution, à violer la loi à coup de menaces et de corruption. Pour arriver à ses fins, il s’est notamment appuyé à la fois, sur son directeur de cabinet le rwandais Monsieur Antony Nkinzo, et son sinistre et kleptocrate conseiller spécial, Monsieur Eberande Kolongele.

D’après nos sources, ce dernier en particulier, est allé jusqu’à entrer lui-même en contact avec certains des juges pour les menacer directement et empêcher surtout que ceux d’entre eux qui étaient éligibles n’osent même présenter leur candidature. Du jamais vu !
Quant à Antony Nkinzo, la semaine précédant le vote, il a tranquillement convoqué les juges de la Cour constitutionnelle à la présidence pour leur transmettre directement le message clair et ferme de Félix Tshisekedi : « Le chef exige la continuité ». Autrement dit, quelques soient les circonstances ou les éventuelles irrégularités rien ne devait contrarier le choix de la présidence.
D’après la loi congolaise, « Les juges de la Cour constitutionnelle sont nommés pour un mandat de neuf ans, non renouvelable. » Et dans l’article 9 de la Loi organique n°13/026 du 15 octobre 2013 portant organisation et fonctionnement de la Cour constitutionnelle, il est dit que « Le Président de la Cour constitutionnelle est élu pour une durée de trois ans, renouvelable une seule fois. ». Mais, tous les juristes que nous avons contactés sont unanimes.

Au vu des textes régissant cette institution, Monsieur Kamuleta n’était déjà pas éligible comme président de la cour pour 3 ans, parce que son mandat comme juge expire dans moins de 3 ans, soit en avril 2027. Comment peut-il postuler pour un mandat de président de la cour vu que celui-ci devra prendre fin en …2028 ?
Le CNRC a également appris que non seulement ce vote s’est donc déroulé sous tensions, mais en plus, d’après nos sources, en réalité six juges ont voté blanc (et non trois, comme cela a été dit dans la version officielle). Ainsi, loin d’avoir été plébiscité par ses pairs, Kamuleta a plutôt été complètement désavoué et rejeté malgré la pression de la présidence.
Nos différents interlocuteurs à Kinshasa (avocat, magistrats, etc …) tous plus outrés les uns que les autres ont ajouté, qu’en réalité plusieurs autres entorses à la loi sont à déplorer autour de ce véritable parachutage maffieux du juge Kamuleta à la tête de la Cour constitutionnelle de la RDCongo, une institution pourtant chargée du contrôle du respect des lois pays.
Les juristes avec qui nous avons échangé dans la capitale congolaise n’y sont pas allés par le dos de la cuillère, je cite : « Ils ont bafoué toutes les règles. Voilà une cour constitutionnelle déjà irrégulièrement constituée qui perdure dans ses irrégularités ». Et un autre d’ajouter : « Ici, les gens ne disent plus le droit, ils disent amen, il n’y a plus de débats » fin de citation.
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Le Conseil National de la Résistance Congolaise (CNRC en sigle) appelle les congolais à prendre la mesure de ce que présage déjà ce comportement maffieux récurrent de Félix Tshisekedi et son entourage. Et ceci au moment où certains d’entre eux font l’objet de plaintes pour malversations financières, et que lui-même Félix Tshisekedi président pourtant illégitime, tente de faire bonne figure auprès des américains qu’il a sollicité pour un partenariat stratégique avec la RDC etc …

Les États-Unis, sont-ils en train de devenir les garants de la fraude et des malversations de Félix Tshisekedi en RDCongo ? La question mérite d’être posée.
Pour nous qui ne reconnaissons pas ce gouvernement illégitime, fruit du régime d’occupation instauré en RDC depuis près de 3 décennies, et qui n’avons cessé d’alerter, avec Monsieur Honoré Ngbanda, contre la duplicité de Félix Tshisekedi, tout ceci ne nous étonne pas. Mais se plaindre constamment de ces irrégularités à répétition ne suffira pas et ne règlera pas pour autant le problème, car la RDCongo occupée ne fait qu’aller d’irrégularités en irrégularités.
C’est pourquoi le CNRC exhorte une fois de plus, chaque congolais à comprendre que contrairement à ce que certains essaient de vous faire miroiter avec la fameuse signature de l’accord de paix utopique pilotée par les États-Unis, si les congolais ne se prennent pas en charge pour chasser ceux qui ont pris nos institutions en otage, c’est bien vers une balkanisation assortie de dictatures féroces, empreint de népotisme et de tribalisme, que ce pays se dirige . Les congolais n’auront que leurs yeux pour pleurer s’ils ne réagissent pas.
Malgré la prétendue pression américaine exercée sur ce gouvernement de corrompus sans foi ni loi, cette nouvelle fraude électorale est une preuve supplémentaire qu’il n’y a absolument rien à attendre de Félix Tshisekedi et son gouvernement collaborationniste dont la place se trouve en prison et non à la tête de nos institutions. C’est une véritable honte que de soutenir de tels malfrats. D’ailleurs, en vertu de quoi le peuple congolais devrait continuer à se laisser persécuter ainsi par un groupe d’individus qui n’ont même pas été choisi par lui pour diriger le pays ?
Après avoir saboté notre armée, plombé notre diplomatie avec sa pitoyable stratégie du pleurnichard, bradé nos minerais et notre souveraineté pour une paix utopique et sans mandat de surcroit , tout en continuant à vider sans vergogne les caisses de l’État au profit de sa famille et lui , Félix Tshisekedi ce menteur, faussaire , engaillardi par sa supposée proximité avec le gouvernement américain , s’illustre à nouveau dans une fraude immonde qui ne vise qu’à l’assurer de pouvoir se maintenir au pouvoir au-delà de 2028.
Pendant que les médias et certains analystes tentent de faire croire au monde que l’accord de Washington, devrait contribuer à remettre ce pays sur les rails, puisque cet accord oblige le gouvernement congolais à être plus respectueux des lois congolaises, chacun dispose plutôt d’une preuve supplémentaire que tout ceci n’est qu’illusion.
De plus, le parcours de Félix Tshisekedi émaillé d’actes de trahison à répétition envers le peuple congolais et son collaborationnisme fruit de son alliance avec Kigali doivent plus que jamais inciter les congolais à tirer rapidement les conséquences qui s’imposent : Tant que Tshisekedi , sa bande de maffieux et les quelques rwandais qui les entourent restent à la tête de la RDC, il ya lieu de considérer que tous ceux qui acceptent de faire équipe avec ces malfrats ont en réalité des agendas qui vont à l’encontre des intérêts des congolais. Il appartient au peuple congolais de prendre ses responsabilités pour mettre un terme à toutes ses forfaitures. Et le CNRC, comme tous les véritables résistants congolais n’y dérogeront pas. Ingeta !

Paris, le 24 Juillet 2025
Pour le Conseil National de la Résistance congolaise (CNRC en sigle) et les Ngbandistes
Candide OKEKE
- Responsable du pilotage stratégique du CNRC
- Collaboratrice de Mr Honoré Ngbanda de 2005 à 2021
- VPN/APARECO
- Responsable du site web www.resistancecongolaise.com
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